Habitudes et comportements alimentaires modifiés, perception du repas altérée, pratique culinaire mise de côté…, les effets secondaires des traitements influencent le statut nutritionnel du patient : près de 40 % des patients sont dénutris. Parallèlement, des évolutions de poids non négligeables (notamment des pertes de poids) sont observées.
Bien manger et maintenir un poids stable favorisent l’état de santé général et une meilleure acceptation des traitements. Il est donc essentiel de veiller le plus tôt possible à optimiser ses apports nutritionnels en adoptant des solutions culinaires adaptées.
En atténuant les effets secondaires, une alimentation adaptée contribue à améliorer l’état de santé physique général : corps plus tonique, métabolisme plus efficace, processus d’inflammation régulé,… Il est important de veiller à équilibrer son alimentation et à l’adapter au gré des effets secondaires rencontrés, en insistant sur l’apport en protéines à apporter à 80% dans la première partie de journée. De même, les glucides, lipides et condiments s’intègrent naturellement dans les repas: herbes & épices, oméga 3, céréales complètes, fruits & légumes.
Bien se nourrir et cuisiner ont également des effets positifs sur l’état psychologique : plaisir de manger, de goûter à de nouvelles saveurs/recettes, de cuisiner, partage, lien social, place retrouvée au sein du foyer,… Il est important pour cela de veiller à manger et cuisiner selon ses envies et ses capacités du moment.
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